Commentary on Political Economy

Sunday 9 May 2021

TIME TO PUT AN END TO ISLAMO-FASCISM IN FRANCE!

«Valeurs Actuelles» publie une nouvelle tribune de militaires

Le texte se déclarant «pour la survie de notre pays», a été publié dimanche soir sur le site du journal, et affichait à 01 heure du matin plus de 36.000 signature de soutien.

Les auteurs dans ce texte adressé au Président de la République, aux ministres, aux parlementaires et aux officiers généraux, se présentent comme des militaires d'active, «entrés récemment dans la carrière».
Les auteurs dans ce texte adressé au Président de la République, aux ministres, aux parlementaires et aux officiers généraux, se présentent comme des militaires d'active, «entrés récemment dans la carrière». ROMAIN LAFABREGUE / AFP

Après un premier texte controversé dont certains signataires sont menacés de sanctions, Valeurs Actuelles a publié dimanche 9 mai au soir une nouvelle tribune de militaires «pour la survie de notre pays», lancée cette fois par des militaires d'active, et ouverte aux signatures. Pour tout titre, cette accroche incitative : «[Exclusif] Signez la nouvelle tribune des militaires». La tribune affichait plus de 36.000 signatures au compteur peu après 01 heure du matin, a constaté l'AFP. «Agissez, Mesdames et Messieurs. Il ne s'agit pas, cette fois, d'émotion sur commande, de formules toutes faites ou de médiatisation. Il ne s'agit pas de prolonger vos mandats ou d'en conquérir d'autres. Il s'agit de la survie de notre pays, de votre pays», écrivent les auteurs dans ce texte adressé au Président de la République, aux ministres, aux parlementaires et aux officiers généraux.

Les auteurs disent être «entrés récemment dans la carrière» et précisent qu'ils ne peuvent pas «réglementairement» s'exprimer «à visage découvert»«Nous sommes de ce que les journaux ont nommé «la génération du feu». Hommes et femmes, militaires en activité, de toutes les armées et de tous les grades, de toutes les sensibilités, nous aimons notre pays. Ce sont nos seuls titres de gloire. Et si nous ne pouvons pas, réglementairement, nous exprimer à visage découvert, il nous est tout aussi impossible de nous taire», écrivent-ils pour se présenter.

Presque tous, nous avons connu l'opération Sentinelle. Nous y avons vu de nos yeux les banlieues abandonnées, les accommodements avec la délinquance. Nous avons subi les tentatives d'instrumentalisation de plusieurs communautés religieuses, pour qui la France ne signifie rien -rien qu'un objet de sarcasmes, de mépris voire de haine. »

Les auteurs de la tribune

«Afghanistan, Mali, Centrafrique ou ailleurs, un certain nombre d'entre nous ont connu le feu ennemi. Certains y ont laissé des camarades. Ils ont offert leur peau pour détruire l'islamisme auquel vous faites des concessions sur notre sol», écrivent les auteurs . «Presque tous, nous avons connu l'opération Sentinelle. Nous y avons vu de nos yeux les banlieues abandonnées, les accommodements avec la délinquance. Nous avons subi les tentatives d'instrumentalisation de plusieurs communautés religieuses, pour qui la France ne signifie rien -rien qu'un objet de sarcasmes, de mépris voire de haine.»

Valeurs Actuelles avait publié le 21 avril une tribune choc dans laquelle «une vingtaine de généraux, une centaine de haut gradés et plus d'un millier d'autres militaires», appelaient le président Emmanuel Macron à défendre le patriotisme, et se disaient «disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation». Ce texte a déclenché une vive controverse dans la classe politique, certain y dénonçant un quasi-appel à l'insurrection quand d'autres saluaient un sursaut salutaire.

Le Premier ministre Jean Castex a dénoncé une initiative «contraire à tous nos principes républicains» et accusé le RN, qui avait appelé les signataires à soutenir son action, de «récupération politique». La ministre des Armées a réclamé que des sanctions soient prises contre les signataires, qu'ils soient d'active ou à la retraite. Saisi par des parlementaires de la France insoumise, le procureur de Paris Rémy Heitz avait rejeté la demande d'engager des poursuites visant les auteurs et diffuseurs de la tribune car «aucune infraction pénale» n'y figure.

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