Commentary on Political Economy

Monday 30 March 2020

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We have argued time incessantly that the Chinese Dictatorship and its Han Chinese populace of henchmen and fellow travellers poses the greatest threat to Freedom that humanity has ever faced!
Now comes the devastating news that tens of thousands of Wuhan people are demanding that the Butchers of Beijing release the bodies or ashes of their family members who have died from the Chinese virus. This fact starkly and horrendously confirms our claim that the actual death toll in Wuhan was never about 2700 as claimed by the Butchers, but rather ran in the hundreds of thousands! This is exactly what Le Monde claims in the article below that was published only minutes ago! Please read carefully...and be horrified! This is the fate that awaits all of us unless we rise and arm ourselves against the Evil of the Chinese Dictatorship and its Han Chinese populace!

Coronavirus : doutes sur l’estimation du nombre de décès en Chine

Des dizaines de milliers de Chinois, à Wuhan, tentent de récupérer les urnes funéraires de leurs proches, alors que 2 535 personnes seulement seraient officiellement mortes du virus. 
Par   Publié aujourd’hui à 10h11, mis à jour à 10h46
Temps de Lecture 3 min. 
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Des gens portant des masques font la queue à l’entrée d’un supermarché de Wuhan, en Chine, le  30 mars 2020.
Des gens portant des masques font la queue à l’entrée d’un supermarché de Wuhan, en Chine, le  30 mars 2020. NOEL CELIS / AFP
Combien de personnes sont-elles mortes du Covid-19 à Wuhan, principale ville du Hubei et point de départ de l’épidémie ? 2 535 comme l’affirment les statistiques officielles du gouvernement chinois… ou davantage ?
Le magazine économique Caixin qui, depuis le début de la crise, fait un remarquable travail d’investigation, a semé le doute en indiquant que, mercredi 25 et jeudi 26 mars, des camions avaient livré environ 2 500 urnes chaque jour dans l’un des sept crématoriums de cette ville de 11 millions d’habitants. Par ailleurs, alors que les familles peuvent récupérer les cendres de leurs proches depuis le lundi 23, des photos montrent d’immenses files, silencieuses, devant les crématoriums. Certains témoignages font état de six heures d’attente. La Fête des morts chinoise tombant le 5 avril, les crématoriums se sont engagés à restituer les cendres avant cette date, même si, jeudi 26 mars, les autorités ont interdit les rassemblements dans les cimetières avant la fin du mois d’avril.
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Sur les réseaux sociaux, certains ont fait leurs calculs. L’ensemble des sept crématoriums pouvant restituer 3 500 urnes par jour, cela fait 42 000 urnes en douze jours. Un habitant de Wuhan a fait remarquer au site américain Radio Free Asia (RFA) que les sept crématoriums peuvent procéder chaque jour à environ 2 000 crémations, et que le chiffre officiel de victimes du Covid-19 n’est pas crédible. De nombreux habitants de Wuhan seraient convaincus que plus de 40 000 personnes seraient mortes dans la ville depuis le début de la quarantaine instaurée le 23 janvier, affirme RFA. En partie levée mardi 24 mars, dans le Hubei, elle ne devrait l’être à Wuhan que le 8 avril.

Examens simplifiés

Or, selon l’agence Bloomberg, il y a eu 56 007 crémations à Wuhan, au dernier trimestre 2019 – donc, avant l’épidémie –, 1 583 de plus qu’au dernier trimestre de 2018. Alors que les familles n’ont pas été autorisées à se rendre aux crématoriums durant la quarantaine, il n’est pas forcément anormal qu’il y ait plusieurs dizaines de milliers d’urnes à récupérer. Attribuer la cause d’un décès n’est pas toujours facile.
La Chine a changé à plusieurs reprises, pendant l’épidémie, ses modes de calcul. Débordées, les autorités du Wuhan avaient, durant quelques jours, accepté de déclarer des personnes malades, à l’issue d’une simple radiographie et non d’un test à l’acide nucléique.
En vingt-quatre heures, le 12 février, le nombre de personnes atteintes du Covid-19 avait bondi de 14 000 cas dans le Hubei. Une méthode abandonnée la semaine suivante. Caixin cite une femme, Mme Liu, dont le père était hospitalisé en janvier en raison d’un cancer du cerveau. Comme il fallait libérer les lits pour les malades contaminés par le SARS-CoV-2, il a dû rentrer chez lui, en janvier. Réadmis à l’hôpital début mars, il est décédé quelques jours plus tard. Pour sa fille « le Covid-19 l’a tué indirectement ».
La Chine a changé ses modes de calcul à plusieurs reprises, pendant l’épidémie
A ces difficultés pratiques, que l’on retrouve un peu partout dans le monde, s’ajoutent, dans le cas de la Chine, des doutes provoqués par la nature du régime. Peu après sa nomination, en février, comme nouveau secrétaire du Parti communiste à Wuhan, Wang Zhonglin avait donné l’ordre à des équipes médicales d’aller visiter chaque foyer de la ville et de placer en quarantaine toute personne présentant des symptômes. « Si un seul cas est trouvé après [ces tournées d’inspection], les responsables de district seront tenus pour responsables », avait-il ajouté. Des décès à domicile ont donc pu ne pas être attribués au coronavirus, alors que les personnes présentaient certains symptômes de la maladie.
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Selon le témoignage – anonyme – d’un médecin hospitalier de Wuhan, au site japonais Kyodo News, de nombreux patients ont été renvoyés chez eux, avant le 10 mars, jour de la visite de Xi Jinping à Wuhan, à la suite d’examens simplifiés. Selon la chaîne de télévision hongkongaise RTHK, depuis qu’une dizaine d’hôpitaux provisoires ont été fermés à Wuhan et que les autorités déclarent tout au plus un nouveau cas quotidien, des personnes présentant divers symptômes se voient renvoyées chez elles sans être testées. « C’est un traitement politique et non médical », dit un anonyme.
Selon la presse britannique, des scientifiques auraient informé Boris Johnson que la Chine pourrait avoir minimisé le nombre de cas confirmés « dans un facteur de quinze à quarante ». Le premier ministre britannique, lui-même positif et accusé d’avoir pris très tardivement les mesures de confinement de son pays, aurait déclaré que la Chine allait devoir rendre des comptes et pourrait devenir un « Etat paria ». Le premier ministre pourrait même revenir sur sa décision d’autoriser l’équipementier de télécommunications Huawei à contribuer au développement du réseau 5G au Royaume-Uni.

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